Ariel Sheney, ancien protégé de DJ Arafat, a déclaré qu’il n’avait plus rien à prouver dans son pays d’origine, la Côte d’Ivoire. Dans une déclaration publiée sur les réseaux sociaux, l’auteur de « Jolie Amina » semble avoir de grandes aspirations pour sa carrière.
Au-delà du marché ivoirien, Ariel Sheney cherche à se développer sur d’autres marchés. « Je n’ai plus rien à prouver ici en Côte d’Ivoire, mais j’ai beaucoup à prouver à l’extérieur. C’est le combat que je mène », a-t-il déclaré.
Pour ceux qui suggèrent que l’artiste vise le marché nigérian, compte tenu de sa nouvelle sortie produite dans un style nigérian, il a répondu franchement. « Dire que je vise le marché nigérian, c’est un peu étroit. Je vise le marché anglophone (Etats-Unis, Londres, Nigeria…) », précise Ariel Sheney. Il a poursuivi en expliquant que sa nouvelle vision musicale a apporté ce qu’il appelle un « cocktail musical » dans les paroles, ce qui signifie qu’il chante en dioula, français, anglais et nouchi.
Selon Ariel Sheney, sa musique devrait être inclusive de tout le monde en raison de sa diversité culturelle. « Personne ne devrait se sentir exclu de ma musique, à moins qu’il n’aime tout simplement pas ce genre de musique. »
Il est à noter qu’Ariel Sheney est un artiste chanteur ivoirien. Il a commencé sa carrière avec son défunt mentor DJ Arafat, et maintenant, « Petit Ariel » est devenu un grand nom à part entière de la musique ivoirienne.
Dieu-Donné A.
