La pollution met à mal notre système respiratoire. Quelques conseils de vie pour le protéger.
15 000 litres, c’est la quantité d’air que nous respirons chaque jour. Or, sa qualité laisse parfois à désirer en raison de la pollution intérieure et extérieure à laquelle nous sommes confrontés. Parmi les principaux polluants figurent les particules fines PM 2,5, classées comme « cancérigènes certains pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), et l’ozone qui se forme plus rapidement l’été sous l’effet d’une réaction chimique entre le dioxyde d’azote et les ultraviolets. Ces deux polluants peuvent avoir des effets dévastateurs sur la santé, et notamment sur les poumons qui sont en première ligne pour les affronter. En voici quelques solutions pour les préserver.
1 – S’informer
Être informé d’un pic de pollution, c’est encore le meilleur moyen de s’en protéger. Consultez les prévisions météorologiques, et adaptez votre programme à la qualité de l’air : en cas de dégradation, limitez vos sorties et évitez de pratiquer des activités physiques.
2 – Aérer son intérieur
Faites circuler l’air dans votre intérieur en aérant quotidiennement, de préférence le matin tôt ou le soir tard quand le taux de pollution est au plus bas. 20 minutes suffisent à régénérer l’air.
3 – Se mettre au vert
Lorsque votre emploi du temps vous le permet, éloignez-vous des axes de circulation et zones industrielles pour vous ressourcer dans des parcs, forêts et autres espaces verts. En pleine nature, vous pourrez faire des efforts physiques sans craindre de vous exposer aux particules fines.
4– Opter pour des produits d’entretien naturels
Les produits d’entretien contiennent des substances chimique qui dégagent des émanations toxiques qui polluent l’air de votre habitation. Remplacez-les par des solutions naturelles, parmi lesquelles le savon noir, le bicarbonate de soude ou le vinaigre blanc, plus respectueuses de votre santé mais également de l’environnement.
Vous savez maintenant comment protéger vos poumons de la pollution. Si vous ressentez une gêne respiratoire, n’hésitez pas à consulter votre médecin.