Récépissé HAAC N°0062/HAAC/07-2022/pl/P

Municipales : Claude Kwessan Koevi, le candidat de l’UDS-Togo se met à l’écoute de Golfe 5

Dans la commune du Golfe 5, à l’heure où les haut-parleurs saturent les rues de promesses électorales, Claude Kwessan Koevi prend un autre chemin : celui de l’écoute. Tête de liste de l’UDS-Togo, il sillonne les quartiers, non pas pour imposer un discours, mais pour recueillir des confidences. Son credo ? Replacer les citoyens au cœur de la politique municipale.

« Une campagne, ce n’est pas un spectacle. C’est un moment de vérité avec les gens », confie-t-il, entre deux visites de terrain.

Pour lui, cette élection locale est bien plus qu’un rendez-vous électoral. C’est un acte de réparation, dans une relation abîmée entre élus et électeurs.

Depuis le lancement de la campagne, Claude Kwessan Koevi privilégie les rencontres informelles : pas de grand podium, mais des échanges simples sur les pas de porte, dans les ruelles, sous les auvents. Des discussions parfois brèves, souvent intenses, où se disent la fatigue, l’espoir et le doute.

Et le constat est clair : une fracture s’est installée. Les citoyens doutent. Beaucoup ne croient plus en la politique, ni en ceux qui la pratiquent. « C’est à nous de raviver cette flamme. De leur rappeler que voter, c’est exercer un pouvoir. Pas un geste vide, mais un choix qui compte », insiste-t-il. Son slogan, “Votre voix, notre force”, prend ici tout son sens.

Claude Kwessan Koevi et son projet sur quatre piliers

Mais Claude Kwessan Koevi ne s’arrête pas à l’écoute. Son projet repose sur quatre piliers concrets : impliquer les citoyens dans les décisions locales, créer une plateforme numérique d’échange, améliorer le cadre de vie et bâtir une gouvernance plus inclusive.

Une vision pragmatique, tissée à même le quotidien des habitants, avec une conviction : ce sont les citoyens qui doivent guider l’action publique, et non l’inverse.

Dans un paysage politique souvent miné par le désenchantement, Claude Kwessan Koevi fait le pari d’une campagne différente. Une campagne à hauteur d’homme, où la proximité n’est pas un argument, mais une méthode. Et si, dans cette course municipale, c’était finalement le silence des citoyens qu’il fallait écouter pour mieux reconstruire ?

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